Mikimoto
L'histoire des bijoux en perles de culture
Kōkichi Mikimoto a fondé Mikimoto Pearls en créant la première perle de culture en 1893. Grâce à cette réalisation, la beauté des perles s'est répandue dans le monde entier et est devenue accessible aux gens du monde entier, pas seulement à la classe supérieure.
Depuis ce temps , Mikimoto a continué l'héritage d'orner les cous avec des perles tout en devenant une maison de design estimée.
La première perle de culture par Mikimoto
La péninsule de Shima au Japon est un lieu sacré pour cette marque. Depuis le 19e siècle, elle produisait des huîtres akoya indigènes qui, malheureusement, s'épuisaient en perles naturelles en raison de leur rareté et de leur surexploitation. Ayant une fascination pour la perle naturelle clairsemée, Kōkichi Mikimoto s'est efforcé d'être le premier à créer avec succès un procédé pour faire pousser une perle.
Ce processus deviendrait connu sous le nom de culture de perles. Ce type de perle est toujours un joyau organique, mais sa croissance est provoquée par l'intervention humaine. Mikimoto a découvert qu'il pouvait implanter une petite perle ronde dans une huître perlière Akoya comme irritant pour initier la croissance. Il a également découvert que puisque la perle était ronde, la formation de la nacre avait un guide de forme.
La première perle de culture de Mikimoto a été cultivée avec succès en 1893 sous la forme d'une perle de forme semi-sphérique.
Cette ingéniosité a conduit à l'accessibilité de la perle et à sa distribution abordable parmi les masses.
La production a été instituée sur l'île d'Ojima près de Toba, maintenant connue sous le nom de Mikimoto Pearl Island en raison de la domination de l'entreprise. La première boutique spécialisée dans les perles a été ouverte dans le quartier commerçant de Ginza à Tokyo, ce qui a jeté les bases de l'industrie de la joaillerie moderne au Japon.
Héritage de renommée mondiale
Le mariage de l'artisanat traditionnel japonais et de la finesse européenne a permis la création de la Mikimoto Gold Work Factory en 1907. Il s'agissait de la première usine japonaise dédiée à la conception et à la fabrication de bijoux.
Les perles de culture ont rapidement attiré l'attention et la popularité. Kōkichi Mikimoto a activement participé à des expositions et des foires pour illustrer l'intrigue brillante de la perle de culture.
Son rayonnement s'est étendu à l'étranger lorsqu'il a ouvert son premier magasin européen en 1913 dans la grande ville de Londres. Grâce à cette présence majeure, Mikimoto a pu continuer à ouvrir des sites à New York, Paris et d'autres grandes villes.
Le succès n'est pas venu sans défi. En 1921, un article en anglais se répandit déclarant que les perles précieuses de Mikimoto étaient "fausses" et que la marque trompait les acheteurs. L'affaire de diffamation a été portée devant un tribunal français dans le cadre de ce que l'on appelle « les procès de Paris ». Mikimoto a remporté la bataille juridique et sa réputation a continué de monter en flèche.
A tel point qu'il attire l'attention de Thomas Edison. Mikimoto avait envoyé ses perles faire une grande tournée aux États-Unis en 1927. Ici, Edison déclara :
" Ce n'est pas une perle de culture, c'est une vraie perle. Il y a deux choses qui n'ont pas pu être fabriquées dans mon laboratoire - les diamants et les perles. C'est une des merveilles du monde que vous ayez pu cultiver des perles. C'est est quelque chose qui est censé être biologiquement impossible."
Depuis 1972, K. Mikimoto & Co. Ltd propose désormais une gamme complète de bijoux mettant l'accent sur les perles. Tout comme ses débuts inventifs, la société continue d'engager activement l'industrie perlière dans la recherche et la préservation de la vie marine et des écosystèmes touchés par la perliculture.
L'héritage de Mikimoto est une vision en constante expansion de l'une des pierres précieuses les plus anciennes et les plus précieuses au monde.
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